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« Poudre de joie » dans le silence de la poésie de Monique Marta

Monique Marta, écrivain, poétesse  et peintre, directrice de la revue « Vocatif », explore le divin dans son recueil de poèmes « L’opacité du ciel », publié aux éditions unicité, en 2025. Insaisissables, ses vers dirigent leur souffle vers une lumière obscure, racontent un « désir inassouvi se heurtant à l’absolu silence ». Porte ouverte vers l’indicible, les mots de l’auteure, assemblent l’unification de l’être et le néant divin. Dans le silence, ses vers « me sauvent, me perdent », ainsi.

Monique Marta, L’opacité du ciel, éditions unicité, 2025.

J’ai lu « Les Allées du Silence » de Monique Marta, en méditant, en rêvant, entre mon travail d’écriture et une promenade. Tout comme  elle, j’ai saisi « les voix » de ses voies.
 Dans un silence de vie, d’être, même dans le bruit, dans la contemplation de la Nature et du Ciel. Dans « la conscience… et dans l’éveil du sens » comme  la poétesse l’écrit.. Je l’ai saisi dans la non-solitude, l’ébahissement et l’humilité.
Cette musique de Silence aux côtés de la Mort, retentit dans mes pensées et vers que j’ai consacrés  à « une muette riante » – œuvre de silence – dans un de mes poèmes.
 J’ai senti sa « poudre de joie » dans le silence et là, je parle comme  Monique Marta.
  Sa poésie donne le ton au silence-présence, au silence-plein. « Mais qui a bu à la source de la vie », disait Artaud ?
Poètesse-sourcière, elle parcourt « Les Allées du Silence » et j’entends sa voix.

Monique Marta, Les allées du silence, éditions unicité, 2024.

Lire aussi sur la peinture de Monique Marta, le lien via le blog de notre ami, Etienne Ruhaud, auteur, critique littéraire et directeur de la collection Éléphant blanc aux éditions unicité.

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