
Des personnes se meuvent-elles dans une atmosphère qui leur est propre ? Elles essaient de se raccrocher à des accessoires, des ébauches de meubles, des rideaux troubles, pour prendre appui sur des objets dont la présence suffirait à les rassurer. Depuis l’informe jusqu’à la forme, leurs gestes, convulsifs et inutiles, encore empêtrés de sommeil et de songe traînent.